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VIC GODARD & SUBWAY SECT Jeu 12/11/09, date unique

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VIC GODARD & SUBWAY SECT Jeu 12/11/09, date unique Empty VIC GODARD & SUBWAY SECT Jeu 12/11/09, date unique

Message  buddy satan Lun 2 Nov - 16:35

Jeudi 12 novembre 2009
20 h 00
5 euros


[size=200]DATE UNIQUE EN FRANCE ![/size]

VIC GODARD & SUBWAY SECT (Londres, Overground Records)
Power Pop

VIC GODARD & SUBWAY SECT Jeu 12/11/09, date unique 8vicgodard

Songwriter de la trempe d'un Costello ou d'un Paul Weller, Vic Godard doit pourtant se contenter depuis plus de vingt ans d'un succès d'estime (au mieux), et du statut plus ou moins enviable d'artiste culte. On ne dira pas qu'il a tout fait pour, mais il n'a sans doute rien fait contre, préférant toujours l'échec à la gloriole. Son peu de goût pour le music-business et le "rock'n'roll circus", ainsi qu'un certain acharnement dans l'anachronisme l'ont condamné aux marges du rock anglais, là où croupissent les Kevin Rowland, Stephen Duffy et autres Paul Haig. Et il sera en concert à l’Emile Vache pour une date unique en France.

Du son sur http://www.myspace.com/vicgodard

SCHONWALD (Ravenna, Pocket Heaven Records)
New Wave

VIC GODARD & SUBWAY SECT Jeu 12/11/09, date unique 9schonwaldbypaolozauli
(photo : Paolo Zauli)

Si le trio a pendant longtemps symbolisé la formule idoine du rock indé, le duo a petit à petit refait son apparition dans la foulée du succès des White Stripes et autres The Kills. Side-project des méconnus italiens de Pitch, Schonwald est un duo mixte lorgnant tantôt du côté du rock noisy de Sonic Youth ou des débuts de Blonde Redhead, tantôt vers l’électro minimaliste de Ladytron. Les sonorités synthétiques renvoient irrémédiablement vers les débuts de des années 80 et sa new wave un peu crade, sombre, nébuleuse mais non dénuée d’intérêt.

Du son sur http://www.myspace.com/schonwald
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Message  buddy satan Lun 9 Nov - 14:00

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Message  buddy satan Jeu 12 Nov - 13:18

Pour situer Vic Godard, sa bio tiré de Popnews :

Songwriter de la trempe d'un Costello ou d'un Paul Weller, Vic Godard doit pourtant se contenter depuis plus de vingt ans d'un succès d'estime (au mieux), et du statut plus ou moins enviable d'artiste culte. On ne dira pas qu'il a tout fait pour, mais il n'a sans doute rien fait contre, préférant toujours l'échec à la gloriole.
Son peu de goût pour le music-business et le "rock'n'roll circus", ainsi qu'un certain acharnement dans l'anachronisme l'ont condamné aux marges du rock anglais, là où croupissent les Kevin Rowland, Stephen Duffy et autres Paul Haig. En 1993, à l'époque de "The end of the Surrey people", Vic Godard était facteur (il l'est peut-être toujours d'ailleurs). Il avait fallu que sa femme lui offre pour Noël une guitare, puis un Portastudio, pour qu'il se remette à enregistrer ses morceaux...
La discographie de ce "beautiful loser" est, comme il se doit, des plus accidentées. Entre les albums enregistrés mais jamais sortis, ceux déjà obsolètes au moment de leur arrivée dans les bacs, les collaborations éphémères et autres changements de line-up, difficile de s'y retrouver. D'autant que Vic Godard n'a cessé de réenregistrer d'anciens morceaux en variant les arrangements : un jour punk, le lendemain Northern soul, swing le jour d'après...
Essayons quand même...

Pour Subway Sect comme pour de nombreux groupes de l'époque, le déclic est un concert des Sex Pistols (en 76, au Marquee). Jusqu'ici, Vic et ses amis, à peine sortis de l'adolescence, enregistraient des pièces de Molière (!) dans la chambre du premier, ou jouaient quelques vieilleries. Ils croient d'ailleurs que les groupe de Johnny Rotten s'appelle les "Sex Pilots". Soit, ils seront punk, mais se tiendront soigneusement à l'écart des excès du genre. Ils s'habilleront aux puces, mais avec classe, et de préférence en gris (quitte à teindre leurs vêtements dans une baignoire). Chez Godard, le cynisme sera introverti, et le nihilisme se parera toujours d'une certaine fragilité.
Malcolm McLaren les repère et leur offre deux semaines de répétitions avant leur premier concert, en septembre 1976, au fameux festival punk du 100 Club. Ils tourneront ensuite avec les Clash (White riot tour), Buzzcocks (Love bites tour), Slits, Patti Smith, et feront naître de nombreuses vocations - tous les groupes Postcard, notamment. A Paris, ils se feront photographier au sommet du Centre Pompidou et joueront à une sauterie d'Yves Saint-Laurent. Sur le dos. Quelques journalistes anglais (Jon Savage, Paul Morley) sauront voir la singularité de ces faux punks, qui entretiennent une relation d'amour-haine féconde avec le rock.
Un album est enregistré en 77, mais ne sort pas. Seuls deux singles verront le jour l'année suivante : "Nobody's scared"/"Don't split it" et "Ambition"/"Different story (Rock'n'roll even)", autant influencés par les Sex Pistols que par le Velvet ou Television. Plus de vingt ans après, ils sonnent encore avec la même urgence.
Eternel espoir déçu du rock anglais, Subway Sect connaît de nombreux changements de personnel autour de Vic Godard. Avec un parfait non-sens du timing, celui-ci revient à ses premières amours Northern soul. Un album, "What's the matter boy ?" par Vic Godard and Subway Sect, sort sur MCA en 1980. Le groupe n'a alors plus rien à voir avec la formation d'origine. Godard désavoue le disque et refuse d'en faire la promo. L'année suivante, le single "Stop that girl" paraît chez Rough Trade. Une ballade sur laquelle on entend de l'accordéon. Le texte ? Une fille quitte un garçon... pour une autre fille.
Prenant de plus en plus ses distances avec le rock, V.G. soigne son chant et réapparaît en crooner "post-war swing" (smoking brillant et noeud pap'). Pour son premier concert, son orchestre joue à la même affiche que... Pere Ubu. Puis Bauhaus, John Cale, Altered Images, Birthday Party... Jets de canettes et désespoir de son manager Bernie Rhodes (qui lança The Clash). "La rébellion la plus satisfaisante à laquelle j'aie jamais pris part", dixit Vic. Un album "Songs for sale" est enregistré à l'été 81. Mais le résultat déçoit le groupe, qui jette vite l'éponge... et obtiendra un hit (sans Godard, évidemment), sous le nom de Joboxers.
"T.R.O.U.B.L.E" est, lui, enregistré avec la crème des musiciens de jazz londoniens pour Blanco y Negro (la branche indé de Warner). C'est finalement Rough Trade qui le sortira... deux ans plus tard. Deux morceaux grandioses - "Holiday hymn" (que reprenait déjà Orange Juice en... 1979) et "Nice on the ice" - seront extraits de l'album pour un 45 tours de él Benelux ! Vic Godard annonçait la vague easy-listening avec une petite dizaine d'années d'avance. Après le projet avorté d'une comédie musicale sur... Théophile Gautier, on perd sa trace.
Au début des années 90, il se remet à la musique et enregistre quelques démos, dont "Johnny Thunders", inspiré par la nécro de l'ex-NY Dolls dans "The Independant". Geoff Travis veut sortir un LP sur Rough Trade, mais le label vit ses derniers jours. Finalement, l'enregistrement sera terminé chez Edwyn Collins (qui a un huit pistes dans sa chambre) et paraîtra chez Postcard en 93. Vic Godard s'embarque également pour une tournée japonaise avec Edwyn Collins, Dennis Bovell (rencontré à l'époque de Subway Sect) et Paul Cook (ex-batteur des Pistols).
Suit un album évidemment introuvable, "The long decline", enregistré avec le groupe pub-folk du même nom. Puis un autre commencé avec le multi-instrumentiste Matthew Ashman (ex-Bow Wow Wow), qui meurt malheureusement au cours de l'enregistrement. L'album est alors terminé avec Pete Saunders (claviers, ex-Dexy's Midnight Runners), Clare Kenny (basse, ex-Apartments et Orange Juice) et Dave Morgan (batterie, ex-Weather Prophets). Quelques-uns de ces récents morceaux figurent sur une compilation de 99 au titre bien trouvé : "Twenty odd years".
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